Spectacle comique et visuel pour la rue

Durée = 30 minutes

interprété par Christian Taguet et les artistes du Cirque Baroque


Un spectacle à géométrie variable, adapté aux conditions de jeu et aux budgets de chacun.

 

Au commencement il y a eu "Bela et Bartok", un spectacle imaginé par Christian Taguet et surtout destiné à être joué au Japon. Deux personnages burlesques, tout à la fois saxophonistes chanteurs et clowns pour une prestation basée sur la participation du public et la dérision.

Et puis devant le succès rencontré, la nécessité s'est fait jour de renouveler le spectacle par l'apport de numéros visuels, tant dans le domaine aérien par l'utilisation d'un portique, que par des numéros au sol.

C'est ainsi qu'est né "Bela and Co.". Toujours accompagné de musique vivante, toujours sur un mode comique et dérisoire. On y retrouve Christian Taguet en compagnie d'artistes talentieux, tels que les époustouflantes "Lotta et Stina" acrobates finlandaises sur rola-bola, l'ahurissante contorsionniste Sylvaine Charrier, la stupéfiante Solange Lima et sa corde lisse, ou bien encore les prouesses incroyables de Vincent Warin sur son BMX... et bien d'autres artistes encore, membres du Cirque Baroque à divers degrés.

 

Une nouvelle version est disponible depuis l'été : Belawaï !

Pagnes, chemises à fleurs et ukulélé pour une version hawaîenne décapante ! n'hésitez-pas à vous renseigner !


 

Ce qu'ils en disent

"Christian Taguet a écumé plusieurs continents depuis une trentaine d'années et notamment le Japon où il retourne régulièrement. Il a monté de grands spectacles sous chapiteau (Candides avait fasciné Aurillac), il retourne à son premier métier de cogne trottoir avec une aisance et un métier surprenant. Il mène la danse avec un acolyte à la guitare et un vélocipédiste surprenant qu'il présente comme un ch'ti. Son numéro de striptease où il enlève 45 slips et caleçons, déploie son immense chevelure face à une fine et grande jeune fille black qu'il a invitée à se dandiner est un vrai morceau de bravoure".

Edith Rappoport sur http://decrypt.blog.lemonde.fr /06.08